Nos fondations

Initialement nommée Antenne citoyenne, la Maison citoyenne voit le jour sur l’impulsion du Canton en 2012 et est portée par le service développement social et emploi de la ville de Meyrin. Elle vise et favorise la cyber-inclusion, en facilitant notamment l’accès à l’administration en ligne au plus grand nombre. En 2013, cette structure élargit ses prestations en proposant également un espace de rencontre, d’échanges et de développement de projets. Située initialement sur la place de Meyrin Village, l’arcade déménage en 2018 à Gilbert Centre.

Du côté du service petite enfance (PEF) de la ville de Meyrin, trois projets spécifiques naissent entre 2010 et 2015. En 2010, une collaboration avec l’IMAD (Institution de maintien à domicile) réunit une infirmière spécialisée en santé infantile et une éducatrice de l’enfance dans un partage de compétences, lors d’une consultation hebdomadaire. 

Un peu plus tard, en 2012, une étude de terrain, menée par le service petite enfance de la ville de Meyrin, a permis d’identifier le besoin des familles meyrinoises de pouvoir investir un lieu de rencontre parents-enfants.

C’est ainsi que la Marelle ouvre ses portes en 2013, avec un soutien financier initial du Bureau d’intégration des étrangers. Au démarrage, c’est un accueil d’une matinée par semaine qui est proposé et sur demande des familles, La Marelle a rapidement proposé un deuxième temps de rencontre. 

En 2015, sur demande du CEFAM, le service petite enfance est sollicité pour apporter un soutien dans l’accompagnement de leur équipe d’assistantes éducatives, dans l’animation d’interventions thématiques et d’ateliers auprès des mères et des enfants.

Courant 2019, la volonté politique de développer des synergies entre l’ensemble de ces activités se traduit par un projet rassembleur sous un même toit. Et c’est ainsi que le 31 août 2020, la Maison citoyenne Marelle ouvre ses portes et souhaite se trouver un nouveau nom.

Chez Gilberte – la maison meyrinoise est baptisée à l’issue d’un processus participatif incluant les habitant-e-s et familles fréquentant le lieu, l’équipe de professionnel-le-s et la magistrate déléguée. Cette appellation se veut un clin d’oeil à Louis Valentin Gilbert, qui fut aubergiste et maire de Meyrin de 1815 à 1824.